La tonalité positive

I

l est connu que le comportement du dirigeant, et notamment la tonalité émotionnelle de ses interactions avec ses collaborateurs ont un effet contagieux dans toute l’organisation.

C’est pourquoi la tonalité positive, mais  juste, de ses interactions est un préalable au co-leadership.
La condition essentiel du co-leadership réside dans l’intériorité du dirigeant, particulièrement dans la capacité à :

  • Obervation, écoute ouverte : être connecté à ses propres ressentis pour détecter les menaces ambigües, les opportunités en périphérie  de son activité, pour discerner ce qui cherche à émerger
  • Remettre en question des statu quo, des habitudes
  • Élaborer sa propre pensée, détecter parmi des données éparses, les formes de comportements, les liens, les signaux faibles d’une menace ou d’une opportunité.
  • Gérer émotionnellement le risque en donnant à ses collaborateurs la capacité à s’exprimer librement tout autant qu’il s’exprime  librement lui-même.
  • Utiliser les conflits comme un appel à être créatifs

Le co-leadership  n’est pas que le  fruit d’une disposition intérieure du dirigeant,  elle repose aussi sur la qualité et la quantité d’information partagée.

A contrario, les freins au co-leadership sont les peurs générées par les caractéristiques d’une distance au pouvoir telles que :

  1. Une forme de pouvoir associée à la position hiérarchique ou économique.
  2. L’impossibilité d’exprimer une  opinion divergente.
  3. Un système de contrôles bureaucratiques pour la gestion des ressources humaines
  4. La méfiance exacerbée par des conflits, ou  des  coalitions plus ou moins occultes
.
  5. Une vision si faible qu’elle est absente dans la prise de décisions.

Quand le chef prend les décisions et que les employés attendent… là naît, l’ennui, et le pire des gaspillages, celui du développement individuel et collectif.

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AGIR ET ACCOMPAGNER

Nous agissons comme des catalyseurs de la métamorphose de votre leadership en co-leadership.

Nous accompagnons le dirigeant et son équipe dans leur capacité à développer le co-leadership.

Nous accompagnons ensuite toute l’organisation dans cette  mobilisation.

La confiance, c’est la faculté d’accepter de se rendre vulnérable vis-à-vis d’autrui dans l’espoir  d’en retirer un bénéfice.

La confiance est un processus cognitif et émotionnel.

La confiance murit à la lumière des expériences  successives, elle commence par un calcul bénéfices/risque puis, elle s’installe dans la relation, et enfin dans une identification aux valeurs partagées.

La résolution de problème  est le véritable moteur de la confiance, elle s’y  approfondit, ou, au contraire, s’y rompt brutalement.

La reconquête de la confiance est limitée mais possible..